Euronat : Les Fines gueules ont mangé Le Cochon qui rit

Au centre naturiste Euronat, en Gironde, le traiteur vient de changer de nom, et de propriétaires. Repris par Louis et Thibaut, avec le soutien de Gildas, le Cochon qui rit laisse la place aux Fines gueules.

Par Pascal Fiévet

Après l’école hôtelière et avoir acquis de l’expérience à « La Boîte à Sardine », Louis, a retrouvé son ami d’enfance Thibaut qui lui aussi a suivi des études culinaires. inséparables depuis leur rencontre à la maternelle, ces deux-là ont repris cette année à Grayan et L’Hopital, en Gironde, l’établissement d’Euronat de plats cuisinés du « Cochon qui rit » en le baptisant « Les Fines gueules ». entourés d’une équipe de choc et complice, Ils jurent de ne faire que de la qualité coûte que coûte.

Gildas, qui avec sa femme a fait la réputation du Cochon qui rit, pourtant maintenant à la retraite, infatigable travailleur et bon charcutier à la base, a mis ses talents auprès des jeunes entrepreneurs pour leur transmettre tout son savoir, notamment en charcuterie. Finalement, il travaille avec eux cette année. Point de danger sur la continuité de la réputation de la maison garantissant absolument le frais dont les plats sont préparés avec rigueur d’une façon artisanale, composé d’ingrédients naturels haut de gamme. Pas question de chimique dans les plats cuisinés de toutes sortes.

Très doué et aimant créer de la pâtisserie, Louis confectionne ses desserts avec passion, passant quelques heures dessus, un régal pour les papilles, un véritable expert en la matière ! Tandis que Thibaut s’affaire à réaliser des plats copieux. Au passage, vous remarquerez le petit paquet de farine et la finesse de préparation de son ami. Preuve irréfutable que les plats et desserts sont bien réalisés artisanalement, très loin de la nourriture industrielle.

Thibaut, Louis et Gildas préparent les plats dès le réveil du petit matin, puis l’équipe d’employés soudés arrive bien après pour assurer le service et accueillir les clients. Souhaitons leur tout le succès qu’il mérite.