Au Canada, quelques questions existentielles interpellent les journalistes du média féminin Billie. Le 22 novembre, la question était simple ; pourquoi ne pas se promener nue chez soi.

« Se promener toute nue chez soi: libérateur, ou bizarre? », s’interrogeait le 22 novembre dernier la journaliste Sarah-Maude de rive pour le média canadien Billie. Car, écrit-elle, « alors que certaines y voient un aspect banal, voir même amusant de leur routine à la maison, d’autres répugnent à l’idée d’abandonner haut, bas et sous-vêtements si ce n’est pas pour se doucher ou se coucher.» Il y a effectivement matière « à investiguer ce débat !» En s’appuyant sur quelques exemples médiatiques, telles les photos publiées sur Instagram de « people » comme Britney Spears, Kylie Jenner ou Charlotte Cardin.
L’analyse mérite effectivement d’être découverte : « c’est une question qui divise: à l’ère du bien-être et des discussions sur la liberté corporelle, plusieurs soutiennent que de déambuler entièrement nu dans son appartement est la sensation la plus naturelle du monde — une forme de mini rébellion contre les normes sociales qui en devient presque thérapeutique. Effectivement, ceux qui adhèrent à l’idée y verront une façon de reconnecter avec son corps et de le voir tel qu’il est, sans vêtements ni filtres. Cette idée vient aussi avec un bien-être plus physique, qui découle du fait de laisser sa peau respirer pour un plus long moment. C’est d’ailleurs pourquoi plusieurs aiment également la pratique de dormir sans pyjama! »
Mais, souligne-t-elle, « d’autres, au contraire, trouvent l’idée inconfortable, gênante, voire un peu bizarre. Dépendamment de la façon dont chacun a été élevé, et du rapport qu’on a avec la pudeur, le fait de flâner dans la nudité peut être perçu comme une limite qui n’est pas à franchir.». Le débat reste ouvert…même chez les naturistes.
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