En 2020, la candidate martiniquaise Anaëlle Guimbi avait été recalée de l’élection de Miss France car elle avait précédemment posé topless. Cinq ans après, le règlement n’a pas beaucoup évolué, ne voulant pas prendre en compte une nudité exposée pour des motifs caritatifs. Elle avait posé pour Octobre rose !

Ce sont quelques médias internet qui ont remis le sujet à l’ordre du jour, alors que les candidates pour le titre de Miss France 2026 sont actuellement en « stage » de préparation en Martinique pour une élection programmée le 6 décembre. En 2020, porteuse justement du titre de Miss Martinique, Anaëlle Guimbi avait du démissionner, ne pouvant être candidate au titre de Miss France car elle avait précédemment montré sa poitrine dans une campagne de publicité. Et qu’importe si c’était pour soutenir la lutte contre le cancer du sein dans le cadre d’octobre rose. Sur Instagram, elle avait alors fait part de son désappointement.

Qu’en est-il aujourd’hui ? Le règlement n’a pas changé, même s’il a évolué, notamment dans la taille des candidates, leur âge et leur situation maritale. Mais toujours pas de nudité publique, que ce soit pour une publicité ou de la photo dite « de charme ». En 2020, écrivait Anaêlle Gambi sur son compte Instagram, « les photos que vous voyez s’avèrent être contraire aux valeurs de Miss France. Les règles sont ce qu’elles sont, je m’incline mais je continuerai toujours à défendre les valeurs qui me sont chères comme ce combat contre le cancer du sein », ce qu’elle effectivement toujours, comme elle continue faire du mannequinat. Le contrat indique en effet que « les candidates certifient sur l’honneur n’avoir jamais posé ou s’être exhibée dans un état de nudité partielle ou totale ». Actuellement, « des voix appellent à une mise à jour pour inclure des exceptions pour les causes humanitaires », explique les sites Enjoystation et Officielles.fr . Mais rien ne vient à l’horizon.
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